« Lorsque je suis faible , c’est alors que je suis fort. » 2 Corinthiens 12,10
Cette parole de Paul fait sens parmi les personnes du groupe, en ce temps de Carême. Chacun vient avec ses interrogations face aux évènements de la vie parfois lourds, douloureux à porter!
Cette fragilité de l’être humain nous semble être un appel à l’abandon au (à la) bien aimé(e), à l’autre, au Tout Autre qui nous justifient. Je ne peux être l’unique maître de ma vie aussi dois-je me recevoir.
Cependant, c’est dans cet abandon que je reçois la force, force qui n’est pas celle de la domination pour utiliser tout être, c’est à dire nos soeurs et frères en humanité.
N’est-ce pas l’esprit de la force qui nous est donné pour vivre notre vie entre écueils et accueils.